Deux cas sont possibles:
le premier étant de proposer aux contribuables de réduire leurs impôts et en contre-partie, ils arrachent les mauvaises herbes, le deuxième étant que la ville soit entretenue correctement avec nos deniers!!
De plus les berges de l'Yonne qui sont en quelque sorte notre fleuron...sont parsemées ici et là de barrières rouillées qui sont présentes depuis une certain temps!!
Nos édiles ne se promènent donc pas à pieds??
La réponse est que cela ne les gène pas...
Qui a parlé de médiocrité ??
Peut-être pensent-ils que les touristes vont être médusés par cet art si contemporain !!
Commentaires
Monsieur ou Madame TWINGO,
Le passé est le passé, ce qui m'intéresse est l'avenir, il ne faut pas oublier le passé mais ressasser sans cesse est stérile.
J'ai toujours été pour l'Union et l'actuelle opposition au sein du Conseil Municipal n'est pas divisée (venez au Conseil et vous le constaterez) et je ne suis l'ennemie de personne!
Mon voeu le plus cher et qu'une seule liste soit présente face à la majorité actuelle.
Mais concernant la Communauté de communes, malheureusement en France, comme d'habitude, nous voulons faire simple et cela devient compliqué et honéreux...
C'est l'éternel mille feuille on veut supprimer une couche et...pour ne pas déplaire aux uns ou aux autres...on en ajoute 2 !!!
Bien cordialement,
Joigny est une très jolie petite ville. Exceptionnellement située entre Yonne et Côte Saint-Jacques, elle a tout pour représenter l'idéal de la France provinciale aux yeux des visiteurs.
Elle devrait se fixer l'objectif de les attirer et de les retenir, ce qui, par la même occasion, voudrait dire qu'elle est plus agréable à vivre pour les joviniens.
Hélas ceux-ci, à cause des divisions de l'actuelle opposition, ont été contraints de confier les clés de la ville à un attelage constitué d'un ambitieux qui regarde plus loin que la petite cité, et d'un incapable notoire.
La communauté de communes qui aurait pu représenter un atout supplémentaire, mise au service d'une ambition personnelle, est un boulet, et qui coûte cher.
Les photos que vous affichez, Madame Bourassin, sont bien tristes.
Cependant une espérance se lève : que les frères ennemis d'hier unissent leurs forces et leurs talents pour reconquérir le coeur des joviniens et arracher la ville au marasme et au déclin.