En cette période de crise économique grave qui, malheureusement, n'épargne pas Joigny, il me paraîtrait normal que les loyers de certains commerces soient revus à la baisse. Je m'explique : que préfère t-on ? Un commerce qui ne peut plus régler ses loyers, donc un commerce qui va fermer et par conséquent laisser sa vitrine vide, ou peut-être gagner moins mais avoir un centre ville digne de ce nom, où les loyers pourraient avoir , pour une période déterminée, une variation du loyer en fonction du Chiffres d'Affaires (ou autre).
Et à mon sens , la SIMAD, bailleur de la ville pourrait peut-être commencer par montrer l'exemple.
Il y a un "prix de marché" pour les commerces joviniens (comme ailleurs) qui fluctue suivant l'emplacement,
et surtout la période dans laquelle on se trouve, et ce n'est un secret pour personne de dire qu'actuellement les commerces de la rue piétonne et place Jean de Joigny souffrent.
Alors, si l'on veut redonner un nouvel élan à Joigny, commençons par là !
Commentaires
Bonjour,
La rue cortel se vide depuis des années, la SIMAD devrati proposé des loyers fluctuants...
Belle Révélation! Mais la Simad n'est elle pas en lien avec la mairie pour le "développement économique de la ville". Et qui a été locataire de la Maire pendant 30 ans...? Cela fait des années que partout, il est dit que les centres villes souffrent mais à joigny, je ne vois de réelle différences que depuis la nouvelle municipalité... Alors, toute cette politique et cet esbrouffe est-il vraiment nécessaire?
Monsieur le Concombre,
En effet, depuis quelques années, la rue Cortel se vide, les boutiques reviennent et disparaissent, plusieurs causes, la première est que les gens ne veulent plus marcher, qu'il faut toujours aller vite et que les automobilistes veulent se garer devant le magasin où ils font leurs courses, des solutions existent, il faut les mettre en place, et vous aurez nos projets dans notre futur programme , ne vous impatientez pas, cela va arriver !
Bravo Madame,
Pour la photo dans la presse de ce jour,maintenant il vaut persévérer et connaître le financement des foires du passé. je doute que vous alliez jusque là.
Madame,
Vous n'êtes peut être pas au courant,je jardine près des silos.Un magasin vert était installé non loin.Je reçois un courrier m'avisant que celui-ci déménage à Migennes.Il se dit aussi dans notre milieu que vous avez refusé sous la municipalité Auberger son installation dans la zone de la Petite Ile.Sarko se proposant de supprimer la taxe professionnelle,la ville vient de se priver d'une ressource par votre faute,vous étiez conseillère municipale.
"depuis des années on voit tristement cette belle rue se vider."
depuis combien d'année ?
Cela me semble évident, et je pensais que ça avait déjà été mis en oeuvre depuis déjà logntemps ...
depuis des années on voit tristement cette belle rue se vider.
Pourquoi pas proposer un local aux associations artisanales, artistiques, amateurs ... qui pourraint exposer leurs "oeuvres" un laps de temps ?
Des locaux vides font mal au coeur.
Ainsi les locaux seraient entretenus et se dégraderaient moins.
Madame,
Ce n'est pas très élégant de votre part d'essayer de jeter le trouble parmi les commerçants de la rue piétonne. Combien sont-ils à être locataire de la SIMAD.Votre propos gagnerait en clarté si vous nous communiquiez ces chiffres.Et que diraios les autres commerçants si certaines aides étaient accordées à certains et pas à d'autres.Vous essayez de rallier un électorat qui vous largue.Vous sombrez dans la démago.Dans votre profession faites vous les mêmes cadeaux et des rabais conséquents.Votre président va-t-il faire cadeaux de la Taxe professionnelle à ces commerçants. je poursuis votre argumentation jusqu'au bout,impatient de lire votre réponse.
Cette orientation de l'action économique est excellente et, j'ajoute, indispensable dans la tourmente où nous entrons.
La municipalité n'a, en temps normal, pas à intervenir pour aider les entreprises privées.
Mais, précisément, nous ne sommes pas " en temps normal ".
Le monde, chacun le sait est entré en récession, et ce phénomène global est aggravé, dans notre commune comme dans beaucoup d'autres, par le désengagement de l'Etat.
Dans ces conditions exceptionnellement défavorables, le devoir des responsables est de peser de tout leur poids pour tenter de ralentir, voire d'inverser le mouvement général.
Votre proposition va dans le bon sens.
Puisque vous évoquez notre pauvre rue piétonne, j'en profite pour dire qu'il est inadmissible qu'une somme de 2000 euros ait été attribuée à un magasin associatif privé, introduisant une inégalité inacceptable entre les commerçants au moment où tous ont besoin d'être soutenus, dans l'intérêt général de la Ville.