Isabelle Bourassin-Lange, JOIGNY

Linda RABAHI

25 ans, Attachée Commerciale en Assurances. Je fais un métier passionnant, et durant mes études j'ai eu l'occasion de faire mon stage au Cabinet d'Isabelle BOURASSIN-LANGE. J'ai pu apprécier aussi bien son sérieux que  son professionnalisme ainsi que son dynamisme, c'est pourquoi lorsqu'elle m'a demandé de la rejoindre pour les Municipales, j'ai accepté tout de suite.

L'équipe de L'UNION DE JOIGNY est à l'écoute de TOUS les Joviniens, dans un esprit de tolérance et d'ouverture. 

              Pascale DAVID-SAUZEA

                    44 ans, maman de 3 enfants.

J’ai été adjointe au Maire de 2001 à 2008, chargée de la solidarité et de la famille, mission pour laquelle je me suis passionnée.J’ai pu ainsi faire aboutir des projets qui me tenaient à cœur : Construction de la structure multi accueil Les Oursons, création du relais assistantes maternelles Kangourou, création de l’aide à la mobilité pour les personnes âgées, développement du service du portage des repas à domicile, organisation de soirées débat, mise en place de projets intergénérationnels, actions collectives avec les associations caritatives… 

Je désire m’investir encore pour ma ville et l’ensemble de ses quartiers, pour les Joviniens toutes générations confondues.

Au sein de l’Union de Joigny, nous avons des projets réalistes  qui feront de Joigny une ville  attirante, dynamique et agréable à vivre.

 Vous pourrez lire ci-après la lettre de soutien que Jean-Pierre SOISSON a écrite, il y a quelques jours, qui devait paraître samedi dans l'Yonne Républicaine, et qui, pour des raisons diverses (?) n'est parue...que ce matin !

De plus, en recopiant ce texte...l'Yonne Républicaine a fait une faute...

il n'y a pas 2 R à mon nom !!!

J’ai découvert Isabelle BOURASSIN au Conseil régional de Bourgogne où elle a montré ses qualités d’engagement au service de l’intérêt général et où elle assume parfaitement ses fonctions. 

Dans les difficultés de Joigny, c’est elle qui a eu le courage de demander l’annulation des élections. C’est elle qui a obtenu satisfaction. 

Pour moi, c’est elle qui doit être le prochain maire de Joigny et je considère qu’elle seule a la légitimité de défendre, au nom de la majorité nationale, les intérêts des Joviniens. C’est elle que je soutiens sans aucune réserve.

                                                   Jean-Pierre SOISSON

                 Dominique ROUYER

35 ans, conducteur de train, arrivé à Joigny en 1999.
Conseiller municipal de mai 2006 à mars 2008.

Sensibilité politique: centre gauche.
Représentant des usagers au conseil d'administration de l'hôpital de Joigny. Membre du conseil d'administration de l'Office du Tourisme. Membre du CA de l'Association de la Madeleine...
Centre d'intérêts: Protection de l'Environnement, Energies Renouvelables, Développement Durable, Tourisme...
Partisan d'un rassemblement de la diversité jovinienne dans une équipe qui travaillera dans l'intêret de tous les habitants.

                       Jean-Pierre DUQUESNE

Voici en quelques mots les raisons qui me conduisent à me présenter à cette élection :

Jovinien depuis 57 ans, je suis profondément attaché à ma ville.

Mes activités professionnelles et associatives m’ont conduit à gérer des biens et des personnes dans le seul objectif du bien commun.

Aujourd’hui retraité, je suis totalement disponible.

Mardi 1° septembre à 9h, je me suis rendue avec Anne-Cécile HUCHET, à la Préfecture, afin de déposer notre liste

              "L'UNION DE JOIGNY".

Vous découvrirez chaque jour nos

                   Guy MATHIAUT

J'ai rejoint Isabelle et son équipe attiré par leur programme et conquis par le dynamisme et la passion communicative qui les caractérisent

UNION, RENOUVELLEMENT, RASSEMBLEMENT

L'UNION : Nous l'avons faite dès 2008 en fondant notre association L'UNION DE JOIGNY dont nous voulions qu'elle ne fût pas une "soupe" qui aurait "mixé" les 3 anciennes listes de droite et du centre pour n'en donner qu'une seule mais une vraie UNION de RASSEMBLEMENT des différents courants politiques de la droite et du centre.

Nous avons réussi.

Quant au RENOUVELLEMENT

  et au RAJEUNISSEMENT,

les électeurs pourront le vérifier dès le 7 septembre.

En 2008, étaient présentes 3 listes de droite et du centre, en 2009, il n'y en a que 2 (connues à ce jour).

Le vendredi 17 juillet 2009, sur l'invitation de

M. Le Ministre Henri de Raincourt et de notre Députée Marie-Louise Fort, Gilbert Portal et moi-même, accompagnés chacun de trois co-listiers (pour info, j'étais venue avec 2  de mes co-listiers et mon Directeur de campagne), nous nous sommes rendus à Sens, chez Madame La Députée, afin d'essayer d'Unir nos listes pour n'en faire plus qu'une.

Ma réponse a été OUI, car depuis plus d'un an c'est notre objectif, mais M. Portal a dit NON, refusant cette "association", c'est son choix et son droit , démocratie oblige.

L'UNION EST UNE CHANCE QU'IL FAUT SAVOIR SAISIR.

Les électeurs ne s'y tromperont pas,dès maintenant venez nous soutenir,

le 20 septembre votez et faites votez pour

"L'UNION DE JOIGNY"

une équipe attentive et active qui s'engage aux cotés des Joviniens.

Bien amicalement à vous tous,

Isabelle

        Fin de la série de 6 articles parus simultanément sur ce site   et celui de Frank Thomas : Je vis à Joigny et ailleurs, à propos de la lettre de Bernard Moraine aux joviniens.

Nos prochaines publications conjointes  porteront, dès l'ouverture de la campagne en septembre, sur les projets de l'Union de Joigny.    

« Laissez nous vous montrer que l'on peut imaginer Joigny autrement. Laissez nous vous montrer que l'alternance a été bénéfique, au terme de plus de 30 ans avec la même équipe. » 

 Les joviniens ont des yeux pour voir et il n'ont certainement pas besoin qu'on leur montre les choses.Si elles existent, ils les voient, et si elles n'existent pas, on aura beau les leur monter, ils ne verront rien. Pour le moment, " l'alternance " n'a rien apporté de " bénéfique ".

En jouant sur les mots, et en employant le passé ( " l'alternance a été bénéfique " ) alors qu'il parle des 5 ans à venir, B. Moraine et les rédacteurs de sa lettre tentent brouiller les cartes.

Notons une autre inexactitude volontaire : l'ancien maire, P. Auberger, est resté en place 31 ans, c'est exact. Mais la municipalité, hormis 2 personnes présentes dès 1977, a sans cesse changé. C'est donc tromper les gens que de laisser croire qu'on succède à  une " équipe " restée 31 ans en place.

 Cette lettre se termine par un feu d'artifice de lieux communs et de généralités vagues " imaginer " , " autrement ", " bénéfique".

Ce ne sont que des slogans sans aucune réalité concrète, aussi fumeux que l'affirmation, reprise sur tous les tons que " ça commence à bouger à Joigny. "La méthode Coué n'a pas, jusqu'à présent, fait la preuve de son efficacité. 

  « Chaque membre de notre équipe en est convaincu : lorsqu'on est bien dans sa ville, on est mieux dans sa vie. C'est là le sens de notre action au service de tous les joviniens.»  

Ce slogan emprunté à un autre a de quoi  séduire. Cependant, ce n'est pas de formules que Joigny manque, mais d'initiatives concrètes et réalisables.  

                                       CONCLUSION  

Tout le monde peut avoir des idées mirifiques ( deuxième pont, port céréalier,  école de cuisine, pépinière d'entreprises, etc. ) mais le tout est de savoir quelles capacités, quels moyens réels on est en mesure de mettre en place pour les réaliser et parvenir à ce que chacun, à Joigny,  soit " bien dans sa ville ". 

Ce dont nous sommes persuadés, à l'Union de Joigny, c'est que, quelles que soient leurs options idéologiques, les femmes et  les hommes  qui se dévouent à la chose publique, à travers l'engagement associatif ou politique, ont en commun de vouloir faire en sorte, par leur action, que nos concitoyens vivent le mieux possible dans leur ville.

Tous ont cette volonté, mais la différence se situe dans les capacités plus ou moins grandes des uns et des autres d'y parvenir.

 En ce qui nous concerne, l'avenir de notre ville est  notre seule motivation. Nous avons réuni des talents et des compétences sans aucun a priori partisan :  nous sommes en mesure de mettre en chantier nos projets pour Joigny.

Suite du commentaire de la lettre de B. Moraine aux joviniens 

                             ( " et maintenant " ? ).

Avant de conclure, les auteurs de ce tract abordent le 3e point de leur canevas :

                   Après : " nous sommes d'innocentes victimes "

                         et : " nous avons beaucoup travaillé "

                    voici :  " il nous reste beaucoup à faire ".  

« Alors que de nouvelles élections se profilent, nous nous apprêtons à solliciter à nouveau votre confiance, pour terminer ce que nous avons commencé et mener les dossiers à leur terme. » 

Une question se pose : comment terminer ce qu'on n'a pas commencé ?

Dans deux précédents articles de cette série ( n° 3 et 4 ), nous avons montré que les  "chantiers " qu'on évoque sans plus de précisions, étaient ceux qui avaient déjà été votés et budgétés avant mars 2008, et que depuis, rien de substantiel n'avait été lancé.

 Quant à « mener les dossiers à leur terme », on aimerait mieux ne pas faire prendre ce risque à la ville. Trois dossiers importants ont été très mal engagés :  - La vente du chalet d'Albiez,                          - -                             -  L'installation de l'entreprise Strulick dans les   locaux de l'ancienne usine Stypen,                                                 

                             -  la réhabilitation du site laissé bientôt vacant par le départ du 28e Groupe Géographique de l' Armée. 

             Dans ces trois dossiers on a parlé trop vite, beaucoup promis et fait rêver, sans rien obtenir de concret ni de sérieux.

             La municipalité socialiste et communiste a semble-t-il oublié, obsédée qu'elle a été par le désir de sa réélection, qu'il ne faut jamais vendre la peau de l'ours... 

             Plus consternant encore : les gesticulations médiatiques à propos des compensations pour le départ du GG n'aboutissent pour l'instant qu'à de vagues promesses et rien de solide.

             Là encore on a parlé trop vite, on a privilégié les promesses au détriment du réalisable. Témoin : le " projet " d'école de cuisine sur le site du GG.

              Joviniens pensez-vous que la Région Bourgogne, acteur privilégié dans les domaines économique et de formation professionnelle, va investir des sommes considérables pour créer une telle structure à Joigny alors que des écoles similaires existent déjà dans la région ? Soyons réalistes avant tout.

               Il est à la portée de tout le monde " d'imaginer Joigny autrement "; mais votre choix, en septembre, devra porter sur celles et ceux qui sont capables de mener des projets sérieux à leur terme, tout en restant dans une enveloppe budgétaire raisonnable. 

                         ( vendredi 14 août paraîtra le 6e et dernier article de cette série.) 

Suite de l'analyse critique de la lettre de M. Bernard Moraine aux joviniens.

 Chacun doit bien comprendre que nous en sommes à l'inventaire,

au bilan de la  période     qui       vient de  s'écouler. Lorsque la campagne s'ouvrira, début septembre, 

"l'Union  de  Joigny" détaillera ses propositions pour Joigny.

  Mardi dernier nous évoquions le bilan des 16 derniers mois. Il nous parait important d'ajouter aujourd'hui qu'on ne jugera pas cette période sur les rêves, (sincères ou purement médiatiques) de ceux qui ont géré la ville, mais sur la réalité des faits.

 Les "chantiers" dont on nous rebat les oreilles sont infiniment plus modestes que les mots ronflants dont on les affuble.

Car enfin, pour suivre la liste que M. Moraine énumère avec aplomb, il est remarquable qu'on oublie de nous dire  où ces fameux " chantiers " ont été ouverts.

Voyons. Ce n'est

       - ni dans le domaine "économique",          - ni "social " (cf. la réponse de Pascale David-Sauzea à la présidente du CCAS publiée dans l'Yonne Républicaine et reprise ici même),

       - ni "environnemental",

      - ni "culturel" (rappelons entre autres échecs celui, cuisant, du concert de slam de février qui, ayant coûté 2500 euros à la Ville, a attiré une foule de 15 personnes),

      - ni "touristique",

      -ni "éducatif" (à moins qu'on ne considère comme une action éducative d'emmener des jeunes de 18 à 25 ans pour un séjour de 3 jours au ski).

   Mais où donc sont ces "chantiers" ?